Le projet cadre pour le lait et la viande - Les bonnes choses restent chez nous!

Nos agriculteurs suisses répondent à la norme «Prüf Nach!», qui prévoit la mise en œuvre de nombreuses mesures pour plus de durabilité et qui va au-delà de la norme BIO actuelle. Cela implique également plus de bien-être des animaux. C’est ce que nous voulons garantir, notamment aux veaux qui naissent dans les fermes retour aux sources.  

Habituellement, les veaux mâles des exploitations laitières ne sont pas élevés comme des bovins BIO, mais sont revendus. Seules les femelles, qui donneront plus tard du lait, ont un intérêt pour la ferme. Dans le cadre d’un projet pionnier ALDI unique en son genre, retour aux sources s’engage à ce que des veaux puissent grandir dans les exploitations laitières deretour aux sources. En mai 2022, il y en avait au moins 60 %. Les exploitations laitières de retour aux sources s’engagent à aménager leurs fermes de manière à ce que les autres veaux puissent aussi grandir sur l'exploitation d'origine. Des normes élevées de bien-être animal y sont respectées, comme l’alimentation sans concentrés, le pâturage obligatoire, la stabulation libre, ainsi que l’élevage sans antibiotiques. Plus tard, les veaux sont envoyés dans les exploitations d’engraissement bovin BIO de retour aux sources, qui appliquent également les directives strictes de «Prüf Nach!» en matière de protection des animaux. Cela signifie que les bovins bénéficient d'une sortie permanente et qu'ils paissent dans les prés en été. La majeure partie de leur alimentation est composée de fourrage de prairie et de pâturage BIO suisse et est exempte de soja.

Avec notre projet cadre, nous voulons garantir que les animaux de nos fermes sont valorisés.  

Un projet global 

Nous prenons la durabilité au sérieux et travaillons donc toujours dans une optique globale. Tout ce qui se passe dans une exploitation agricole, que ce soit l’achat d’aliments pour animaux ou la vente de veaux, doit être conforme à nos objectifs de durabilité. C’est ça retour aux sources! 

C’est pourquoi nous nous engageons pour de tels projets en collaboration avec les agricultrices et les agriculteurs. Selon le même principe, nous exigeons également l’élevage des poussins mâles. Les deux projets prévoient d’élever la progéniture masculine et de l’impliquer dans l’agriculture et la production alimentaire.